Elément nutritif alimentant l’organisme humain, le fer fait partie des composants de l’hémoglobine, servant essentiellement à générer de l’oxygène dans tout l’organisme. Complémentaire à la vitamine C, le fer n’est toutefois pas compatible aux produits stimulants tels que le café et le thé.
Consommation de fer, est-ce une nécessité pour l’organisme ?
Selon une étude nutritionnelle, un homme adulte ou une femme ayant atteint le stade de la ménopause, devra consommer en moyenne 9 mg de fer par jour. Pour une femme enceinte, son apport en fer est varié entre 25 et 35 mg par jour, selon la prescription du médecin. Bien qu’il soit rare de voir des personnes ayant une carence en fer, d’après le site Sante-az, on estime 20% des femmes souffrant d’anémie ferriprive, autrement dit à un manque de fer dans l’organisme.
Les personnes en manque de fer sont susceptibles à la fatigue, à la perte de mémoire et l’incapacité d’apprentissage. Les signes indiquant qu’une personne manque de fer sont entre autre les maux de têtes et les étourdissements. La carence en fer se reconnaît également par des ongles cassant et la peau sèche. Pour confirmer que l’on manque de fer, il suffit de faire une prise de sang. Cette analyse permet d’évaluer le taux d’hémoglobine et le volume des globules rouge.
Quels aliments contiennent du fer ?
Il est à noter que certains aliments ne sont pas compatibles au fer, on peut citer les céréales telles que le germe de blé et la pistache, les légumineuses comme les lentilles et les pois chiches , haricots secs , ainsi que les épinards et les œufs….
Pour les personnes qui manque du fer, la consommation de viande est conseillée notamment les viandes rouges telles que les viandes de porcs, d’agneau, de bœuf et de poulet. D’autres aliments mettre en avant : les poissons et les fruits de mer.
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